Delphine Landes devient associée de Baussant Conseil

Pourquoi avez-vous souhaité devenir associée de Baussant Conseil ?

Etre associée est une vraie reconnaissance et une preuve de confiance. Après 12 ans de présence dans l’entreprise, j’ai noué un réel attachement à Baussant Conseil et ses valeurs. Devenir associée est une étape importante qui marque ma volonté de m’impliquer davantage ainsi que mon engagement.
De façon générale, chez Baussant Conseil, les réflexions collectives et décisions stratégiques sont partagées en toute transparence, notre modèle est basé sur la responsabilisation individuelle et l’autonomie des salariés.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

Après une classe préparatoire à Toulouse, j’ai intégré l’ISC Paris avec la spécialité expertise juridique et fiscale.
J’ai fait mon stage de fin d’études avec Pascale Baussant, qui, voyant le métier se réglementer de plus en plus, m’a encouragé à poursuivre mes études. C’est ainsi que j’ai complété ma formation avec un Master 2 Gestion de patrimoine à l’IUP de Caen.
J’ai commencé ma carrière chez BNP Paribas en tant que Conseiller en Développement de Patrimoine dans le quartier de la Tour Eiffel.
Un an plus tard, Pascale Baussant m’appelait pour me proposer un poste de conseiller chez Baussant Conseil. J’ai accepté tout de suite. Cette année, je fête mes 12 ans chez Baussant Conseil.

Qu’est-ce qui vous a poussé à faire le choix du cabinet indépendant ?

La liberté et l’éthique avant tout. Chez Baussant Conseil, nous sélectionnons les contrats et les fonds qui nous semblent être les plus adaptés aux besoins des clients. Il n’y a aucune pression ni objectifs commerciaux. L’intérêt du client est notre priorité.
Dans les cabinets indépendants, notre offre est très large, nous ne sommes pas limités à quelques contrats ou fonds maison.
Contrairement aux banques où les conseillers changent très régulièrement, en cabinet indépendant il y a une vraie continuité dans la relation avec nos clients.

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous intéresser à la gestion de patrimoine ?

C’est un métier qui allie deux approches : il y a un aspect très technique du métier et une approche relationnelle indispensable. Cette activité implique une actualisation continue des connaissances juridiques et fiscales. Il faut également avoir une bonne culture financière, économique et aimer manier les chiffres.
Et en parallèle, c’est un métier où l’humain et le relationnel occupent une place prépondérante.
Qu’est-ce qui vous plait le plus dans votre quotidien ?
Chaque journée est unique, je ne fais jamais la même chose. J’apprécie l’aspect intellectuel de ce métier qui nous oblige à réfléchir et nous remettre en question constamment. Mais ce que je préfère, c’est cette relation que nous tissons avec nos clients.

Le monde de la banque change énormément, quelle évolution envisagez-vous pour les cabinets en gestion de patrimoine ?

Je pense que nous avons un bel avenir devant nous car nous fournissons un service de qualité, un conseil technique, et un suivi personnalisé et sur-mesure. La relation humaine est primordiale, certaines personnes sont lassées des hotlines aux attentes interminables.
Ce monde change vite, être réactif est indispensable.
Par ailleurs, la digitalisation de la profession nous aide à faire face aux lourdes obligations réglementaires, elle facilite le suivi et la transmission de l’information.
Enfin, j’espère que notre profession saura rendre la finance plus responsable, en étant force de proposition d’investissements socialement responsables ayant un vrai impact sur l’environnement, la société et la gouvernance des entreprises.